Il était resté à la maison, mais il n'a pas supporté la chaleur Dans leur nouvelle maison bleu ciel en béton et en partie financée par le gouvernement local, il n'y a ni Nike Tn Pas Chereau courante ni réfrigérateur. La famille fait venir deux bidons de 20litres d'eau potable par Nike Tn jour. Travailler dans les champs par cette chaleur est extrêmement dangereux, opine une infirmière locale. Pour éviter de se déshydrater, il faudrait boire cinq litres d'eau par jour, mais peu d'entre eux le font.A 80 kilomètres plus à l'est dans cet Etat du Telangana, formé il y a exactement un an, les 10000 habitants du village de Narendpur vivent au ralenti, accablés par la chaleur et l'humidité. La vague de chaleur qui touche le sud de l'Inde depuis deux semaines est déjà la plus meurtrière de l'histoireavec déjà plus de 2240 morts. La mousson, en retard, ne devrait arriver dans la région qu'en fin de semaine. Cinq personnes sont décédées ces derniers jours de coups de chaud à Narendpur, dont un nouveau-né de trois mois ainsi qu'un garon de 22 ans. La famille de ce jeune homme ne comprend toujours pas ce qui lui est arrivéAir Max 90 Homme : Il avait arrêté de jouer au cricket, raconte son oncle, S. Bhupal, assis à cté d'une grande affiche de condoléances portant le visage du garon et entourée d'une guirlande d'illets orange. Il était resté à la maison, mais il n'a pas supporté la chaleur. Ces petites maisons qui bordent les rues de terre servent de piètre refuge: ces paysans pauvres et souvent sans terre n'ont pas les moyens de s'acheter un réfrigérateur ou un cooler, un souffleur d'air froid, et les ventilateurs ne font que brasser un air brlant. Résultat, il fait parfois plus chaud à l'intérieur qu'à l'extérieur. Les terres de ce district ne sont pas irriguées, donc les habitants n'ont pas beaucoup de revenus. Cela fait qu'ils n'ont pas les moyens de s'acheter des équipements pour se rafrachir, analyse A. Anjana, la dirigeante du Panchayat, la plus petite unité Nike Tn administrative indienne. La canicule a donc frappé les plus pauvres des campagnes. Nous pensons demander la création d'abris frais pour les années qui viennent, mais pour l'instant nous n'avons aucun moyen de le faire, regrette cette élue locale. Il faudra en effet s'habituer à ces situations extrêmes. Une étude de l'Institut de recherche de Potsdam sur l'impact du climat, en Allemagne, explique que Hyderabad ne connaissait en moyenne que cinq jours de canicule ces dernières années – soit une température de 5 degrés plus élevée que la normale saisonnière. Ce chiffre est dépassé depuis longtemps cette année. Et à cause de l'augmentation des gaz à effet de serre dans la région, la ville pourrait souffrir de quarante jours d'extrême chaleur par an en 2100.
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